Presse

Tous ceux qui avaient prédit la mort du papier après l’avènement du web se sont rendus compte que cette hypothèse se heurtait à de nombreux paradoxes.

D’une part, le nombre de pages web générées n’ont fait qu’augmenter le nombre de pages imprimées. D’autre part, malgré la réduction des tirages constatée sur bon nombre de supports, certains d’entre eux ont retrouvé un sérieux regain d’intérêt. Paraître à la une d’un journal ou d’un magazine reste beaucoup plus valorisant que des kilomètres de contenus flatteurs sur facebook ou sur un blog.

Pourtant de nombreux organes de presse semblent jeter l’éponge, faute de lectorat et de moyens. En témoigne la triste fin de France-Soir, quotidien français diffusé à plus de deux millions d’exemplaires dans les années soixante-dix. De nombreux analystes pointent du doigt l’échec du virage numérique pour ces supports. Cette vision reste toutefois très étroite car elle n’explore pas tous les angles qui expliquent l’effondrement de la presse imprimée.

Bien que le confort de lecture sur papier soit 25 % supérieur à la lecture sur écran, la migration du lectorat vers internet reste un facteur indéniable. Dans un contexte déjà plombé par la crise économique, la perte d’audience n’a fait qu’accentuer la chute des recettes publicitaires. Comment, alors, redresser la barre ? Comment assurer la compétitivité d’un journal dans de telles conditions ? Quelles alternatives pour faire face à l’effondrement du chiffre d’affaires de la presse imprimée ?

Le numérique est une piste, mais il y en a une autre : l’automatisation des processus de fabrication. Cette solution permet non seulement de rivaliser avec les réseaux sociaux en termes de réactivité face à l’information, mais aussi de réduire de manière considérable les coûts de production des supports. Imaginez un journal qui se met en page automatiquement, au fur et à mesure que chaque journaliste saisit son article en tout moment et en tout lieu, depuis son ordinateur, son iPad ou son portable. Dès que les colonnes sont remplies, il suffit d’un coup d’œil et de l’aval du rédacteur en chef pour activer l’ordre d’impression. De la science-fiction ? Non, c’est tout simplement l’automatisation des publications assurée par J2S, spécialiste en la matière. Ainsi, J2S offre des solutions permettant aux organes de presse de retrouver leur compétitivité. Ces solutions leur permettent, tout simplement, de tirer le meilleur profit des nouvelles technologies face à un contexte défavorable non pas à la presse traditionnelle, mais aux processus d’édition traditionnels.

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