Au cours de deux articles précédents, « Points de contacts marketing 1/3 » et « Points de contacts marketing 2/3« , nous avons passé en revue différents points de contacts publiés :

  • Catalogue ;
  • Proposition & Catalogue ;
  • Brochure, Magazine ;
  • Dépliant, Flyer ;
  • Asile Colis ;
  • Fiche produits ;
  • Matrice Excel, Excel ;
  • Marketing direct ;
  • Magalog.

Auxquels il faut ajouter ceux-ci pour être complet :

  • Le packaging ;
  • Le balisage et les étiquettes des lieux de vente ;
  • Les notices et autres documents.

Packaging

En général, un emballage assure la protection d’un objet, tant pour le transport que le stockage. Il expose aussi des informations, souvent multilingues : information produit, mentions légales, instructions, etc..

Il reflète l’attention portée par l’entreprise à la qualité en général, et par voie de conséquence il contribue à la qualité perçue de ses produits.

La diversité des produits augmente, et donc le nombre d’emballages différents à produire ; d’un autre côté, les circuits production / distribution se raccourcissent, et il est donc nécessaire de concevoir les emballages de plus en plus vite. Seule l’automatisation permet de répondre à ces deux points. Il s’agit également d’utiliser des emballages recyclables et respectueux de l’environnement dans toute la mesure du possible.

Comme pour les catalogues intégralement automatisés, il s’agit de produire le graphisme des emballages de manière automatisée, ce qui suppose disposer de toutes les données à imprimer. De l’importance de disposer de bases de données cohérentes en amont des points de contacts pour permettre cette automatisation.

Étiquette

L’animation des lieux de vente passe par l’étiquetage des produits, qui permettent au consommateur de vérifier entre autres le prix. Ici, la question est d’ordre pratique : rendre évidente l’association entre l’étiquette et le produit en rayon. Pour certains produits, il est également nécessaire de publier des informations complémentaires : informations légales, environnementales, prix à l’unité, etc.

Ajouter l’image du produit à une étiquette permet au consommateur une identification aisée du produit réel ; c’est un plus, lorsque la surface de l’étiquette le permet – et comme toujours, lorsque les données sont connectées !

La production des étiquettes représente un marché importante et en croissance, comme en témoigne cet article publié par « Le Mag IC ».

Agrégation des données et production automatisée pilotée par le département Marketing : c’est la voie choisie par Lapeyre pour produire ses étiquettes sous la forme de planches directement dans ses lieux de vente avec J2S Simple Workspace. Et bien sûr, les étiquettes sont disponibles en plusieurs formats, et respectent la charte graphique de l’entreprise.

 

Notices

Les notices (installation, utilisation) peuvent avoir beaucoup d’importance selon les produits. Lorsqu’elles existent, elles ne doivent comporter aucune erreur, et être en accord avec la version du produit : nous savons tous que ce n’est pas toujours le cas !

Elles sont souvent multilingues, et en général placées au dernier moment dans l’emballage. On peut dire qu’elles ne sont pas toujours de belle qualité, voire parfois bâclées.

Pourtant, certaines marques « maniaques » en termes de qualité et d’image de marque montrent qu’il est possible de maitriser ce processus, certes complexe : Apple est une référence en la matière.

De plus en plus de fabricants disposent de bases de données de plus en plus complètes qui décrivent leurs produits, et certains « sautent le pas » en associant par exemple un QR Code à l’emballage pour une invitation à consulter toutes les notices en ligne au travers de fichiers PDF ou vidéos.

Comme l’essentiel des points de contacts, la clé réside dans la qualité des informations, des outils automatisés pour réaliser les publications … et des processus intégrés.

En conclusion

Au travers de ces 3 articles, nous avons évoqué l’essentiel des points de contacts « publiés », ce qui constitue déjà une belle liste. Pour autant, nous n’avons pas abordé tous les points de contacts, notamment ceux qui relèvent du web (sites marchands, réseaux sociaux, smart applications, YouTube et autres chaines, publicité TV) et des contacts humains.

Ce passage en revue met en évidence deux points essentiels et une suggestion.

Il est vraiment nécessaire de gérer les données produits, en conservant à l’esprit que chaque fiche doit pouvoir alimenter chaque point de contact. Penser ainsi permet d’organiser une démarche progressive d’utilisation des données selon la priorité accordée à chaque point de contact.

Se doter d’un outil de publication généralisé et polyvalent va de pair avec une démarche globale. Il est absolument nécessaire qu’un tel outil permette de produire des formes diversifiées (des pages, des catalogues, des notices, des affiches, des PDF, …) et de manière créative (avec l’intervention de maquettistes) ou automatisée (pilotée par une charte graphique) selon les besoins. De même que pour les données, un « big bang » n’est guère conseillé. Au contraire, il paraît hautement souhaitable de viser une montée en puissance selon la priorité accordée à chaque point de contact.

Et une suggestion

Raisonner au travers des points de contacts impose d’en faire la liste, puis de les documenter, pour vérifier pour chacun d’entre eux la ou les sources de données et bien entendu, les processus selon lesquels elles sont gérées, puis le ou les processus de publication liés.

Nous suggérons d’établir cette carte générale, une mise en perspective qui permet d’objectiver ce que nous disons au marché, aux clients et prospects, aux partenaires et employés, d’une part, et les processus en place ou à mettre en place pour cela.

Si une telle démarche fait sens pour vous, nous vous invitons à consulter J2S, qui propose un outil de publication global, en mesure de répondre de manière cohérente aux besoins induits par les points de contacts cités, et plus encore.

Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à prendre contact, nous serons ravis d’échanger et de vous présenter Simple Workspace !

David Lantier
Business Developer