Offre et web marchand par l’exemple

Avant que Simple Workspace n’existe, nous avions mis au point nombre de composants qui servaient de base aux solutions que nous développions pour nos clients. L’automatisation de la mise en page était déjà un enjeu et la famille J2S Layout Toolbox était sollicitée pour ces usages. D’autres composants complétaient celui-ci. Mais l’assemblage de ces briques était manuel. Le procédé permettait d’adresser des problématiques variées, cependant, même si les briques étaient génériques, le ciment utilisé pour les lier était spécifique. Ce qui entraînait des difficultés : nécessité de faire appel à du développement pour finaliser, le temps de fabrication non compressible, complexité de la maintenance dans la durée, etc.

Cette phase eut cependant une vertu : elle nous permit de cerner quelles douleurs nous souhaitions adresser chez nos clients. Nous pouvions nous projeter vers un autre paradigme.

C’est dans ce contexte qu’est né Simple Workspace. L’objectif était de répondre aux mêmes enjeux sans faire de développement, uniquement avec du paramétrage. Nous pourrions alors utiliser le même logiciel, standard, pour répondre à des problématiques différentes tout en allant plus vite.

Ce besoin en versatilité a pour conséquence que le multi fait partie de l’ADN de Simple Workspace, depuis le premier jour.

Multi-projets

Reprenons au début.

Simple Workspace est un portail qui permet de simplifier les productions. Qu’il s’agisse de fabriquer des catalogues, de saisir des fiches produits ou de générer automatiquement des manuels scolaires.

Notre solution prend en charge autant de projets que nécessaire. Et les utilisateurs peuvent les organiser aussi simplement qu’il organise ses dossiers sur son ordinateur personnel.

    D’ailleurs, quand nous étions en train de mettre au point Simple Workspace, nous représentions celui-ci sous la forme d’un arbre. Dans nos schémas, les branches portaient la structure des projets.

    Multi-applications

    Une fois que les utilisateurs ont localisé le projet sur lequel ils souhaitent travailler, ils ouvrent des applications. Ce sont elles qui permettent d’agir.

    Et, dès le départ, nous voulions que Simple Workspace soit un portail qui puisse accueillir n’importe quelle application. Qu’elles soient partagées par nombres d’utilisateurs comme Simple Briefle chemin de fer — ou Simple MOMla base d’offres — ou qu’elles soient spécifiques, développées pour répondre à un besoin particulier.

    Ainsi, notre arbre se garnit de feuilles.

    Multi-données

    Il faut nourrir les feuilles de notre arbre, n’est-ce pas ?

    C’est avec les données que le multi de Simple Workspace s’exprime à plein.

    Loin des applications monolithiques qui ne permettent de gérer qu’une base à la fois, dans Simple Workspace, vous pouvez en créer autant que vous voulez (autant de DAM, de PIM, etc. que vous voulez). De même, les notions d’héritage ou d’alias permettent de partager facilement les bases entre plusieurs projets.

    Mieux, au sein même d’une base, il est possible d’utiliser une mécanique de filtres qui permet de rendre dynamique ce que voient les utilisateurs en fonction du contexte (le catalogue en cours, les droits, etc.).

    Multi-flux

    Votre arbre n’est pas seul !

    Simple Workspace sait recueillir les données d’autant de flux que de besoin. Mieux, il est capable de les agréger automatiquement : le flux des caractéristiques techniques peut alimenter une base d’offres, mais il peut être complété par un flux dédié aux prix. Et ces flux peuvent emprunter des chemins différents : pourquoi pas du transfert de fichiers JSON pour les caractéristiques, et, en même temps, de la messagerie applicative pour les prix ?

    Bien sûr, le même principe vaut quand Simple Workspace doit mettre à disposition ce qu’il a fabriqué.

    Multi-utilisateurs

    Enfin, parce qu’au bout du compte, ce sont des personnes qui utilisent le logiciel, il faut s’assurer que son utilisation est simple.

    Partout, le paramétrage permet de définir ce que doit voir tel groupe et pas tel autre. Les droits écartent automatiquement ce qui est inutile. Et les vues peuvent s’adapter en fonction du contexte : un traducteur n’utilise pas les mêmes outils qu’un photographe.

    Simple Workspace sait faire le grand écart entre des utilisateurs nombreux, impossibles à former, comme les responsables d’univers sur les lieux de ventes et des utilisateurs pour qui Simple Workspace est le principal outil de production.

    Et oui, même si c’est le même arbre pour tout le monde, tout le monde ne le voit pas de la même façon.

     

    – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –

     

    Vous le voyez, nous sommes des experts de ce sujet : quelle que soit votre situation, nous pouvons vous aider. Contactez-nous : nous serons ravis d’échanger.

     

    Jean-Yves Jourdain,
    Cofondateur de J2S